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NOTRE NOUVEAU SITE!!! - par rs le 24/03/2014 - 20:36

Le SNALC-DIJON dispose dorénavant d'un nouveau site depuis la fin 2013.
Vous y retrouverez les dernières informations syndicales!
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Retrait des modifications annoncées en CPGE. - par S.R le 17/12/2013 - 07:32

Le SNALC-FGAF a pris note des décisions prises au sujet des CPGE. En effet, Vincent Peillon a annoncé le retrait de l'ensemble des dispositions qui concernaient les professeurs de CPGE et la poursuite des négociations à ce sujet, ce qui correspond très exactement aux positions que le SNALC a défendues avec les associations de professeurs.
En conséquence, fort de ce succès, le SNALC-FGAF renonce aux modalités d'actions prévues dans les prochaines semaines, notamment à l'appel à la grève lancé pour le 17 décembre.

Il ne s'agit pas encore une fois, de s'enferrer dans une stérile contestation de principe, mais d'être définitivement une force de proposition!

Professeurs de prépas: en grève! - par S.R le 06/12/2013 - 19:10

Les dernières modifications du projet de réforme ne donnant pas satisfaction, le SNALC maintient son appel à la grève en CPGE pour le 09 décembre 2013.
Les réformes proposées s'annoncent comme un préjudice financier important pour nos collègues de classes préparatoires.
Et que l'on cesse d'opposer nos collègues entre eux: comme s'il y avait un quelconque rapport entre une juste valorisation du travail effectué en ZEP par nos confrères du secondaire, et une inacceptable baisse de facto des rémunérations  de ceux de prépas!



Classes prépas: zone de turbulence... - par S.R le 02/12/2013 - 10:24

L'intersyndicale SNALC-FGAF, SNES-FSU, 
 
les associations de classes préparatoires APHEC, APPLS, UPA, UPLS, UPS, UPSTI
 
 
 
déclarent
 
 
 
Cette semaine, se tiennent, dans les établissements de toute la France, un grand nombre d'assemblées générales dans lesquelles les collègues réagissent vivement aux projets de réforme des statuts et missions des enseignants de second degré, tout particulièrement ceux qui enseignent dans le postbac : CPGE (classe préparatoire aux grandes écoles), DCG (classe préparatoire au diplôme de comptabilité et gestion), STS (section de techniciens supérieurs).
 
La pétition unitaire lancée dimanche 24 novembre a déjà recueilli 17000 signatures, elle demande le «retrait de la proposition d'une pondération unique à 1,5 en CPGE et qu'une négociation effective permette une prise en compte juste du travail et des qualifications des professeurs de CPGE ». Elle condamne un discours qui oppose les personnels les uns aux autres
 
Nous appelons à construire une mobilisation forte dans la durée.
 
- Lundi 2 décembre, les discussions sur le métier enseignant et les obligations de service se tiennent au ministère. Les organisations syndicales signataires de cet appel y exprimeront les plus vives protestations issues des assemblées générales.
 
-     Mercredi 4 décembre, nous appelons les collègues à se rassembler ou à manifester dans les académies.
 
-     Mercredi 4 décembre à Paris, nous appelons les collègues à une assemblée générale au lycée Pierre-Gilles de Gennes à 14h, suivie d'une manifestation.
 
-     L'intersyndicale dépose un préavis de grève pour lundi 9 décembre, la décision sera prise au cours des assemblées générales, en fonction des réponses du ministre aux syndicats le 2 décembre.
Contact pour le SNALC-FGAF : M. Dominique Schiltz, prepa@snalc.fr 


Une pétition unitaire à signer vous est proposée en ligne:
Elle est disponible ici:
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Mutations - par S.R le 13/11/2013 - 20:16

   MUTATION INTER.

Saisie du 14 novembre 2013
     au 3 décembre 2013
Connectez-vous sur iprof!
A ce sujet, lisez la dernière quinzaine universitaire, le mensuel du SNALC-FGAF!

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O tempora, o mores - par S.R le 11/11/2013 - 14:12

SAUVONS L'ENSEIGNEMENT DU LATIN ET DU GREC EN FRANCE
N'hésit
ez pas à signer la pétition en ligne!
Elle est disponible ici:
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Vers un collège modulaire! - par S.R. le 06/11/2013 - 13:22

Notre syndicat, avant tout force de proposition, a exposé en mars dernier,au Ministre de l’Éducation son projet patiemment élaboré, de réforme du collège:
Depuis des années, nous n'avons cessé de pointer du doigt les dysfonctionnements évidents du "collège unique", qui au delà des mots, est devenu un système anti-démocratique et de fait profondément injuste.
Les récents rapports PISA exposent objectivement cette faiblesse majeure de notre système.
Plutôt que de s'enferrer dans une stérile contestation de principe, fidèle à ses habitudes, le SNALC a donc élaboré le projet présenté à M.Peillon en avril dernier, et intitulé " Vers un collège modulaire".
Dans l'actuelle conjoncture économique, il s'agit d'un projet certes innovant, mais "à moyens constants", dont voici les principales lignes.

Proposition n°1 : remplacer en Sixième les 2 heures d'Aide aux élèves et accompagnement de leur travail personnel par une heure supplémentaire d'enseignement de Français et une heure supplémentaire d'enseignement de Mathématiques en classe entière.
Proposition n°2 : répartir sur décision du conseil de classe du troisième trimestre de Sixième les élèves en deux groupes : le groupe d'approfondissement (environ 80% des élèves) et le groupe fondamental (environ 20% des élèves).
Proposition n°3 : répartir les élèves du groupe fondamental sur plusieurs classes, dans lesquelles ils suivent les enseignements du tronc commun avec les élèves du groupe d'approfondissement de la même classe.
Proposition n°4 : regrouper les élèves par groupes pour les enseignements de Français, de Mathématiques et de Langue Vivante 1. Aucun regroupement d'élèves du groupe d'approfondissement ne doit dépasser 30 élèves. Aucun regroupement d'élèves du groupe fondamental ne doit dépasser 20 élèves.
Proposition n°5 : affecter les deux demi heures non affectées en Cinquième et en Quatrième aux horaires de Français et de Mathématiques de Cinquième.
Proposition n°6 : refaire les programmes de Français, Mathématiques et Langue Vivante 1 en définissant un socle commun pour tous et des éléments complémentaires propres au groupe d'approfondissement, à mettre en œuvre dans la classe de Troisième.
35
Proposition n°7 : Supprimer le redoublement en fin de 6e, de 5e et de 4e, le principe de modularité des parcours mis en œuvre permettant une mise en œuvre plus efficace de la gestion du temps scolaire. Le redoublement doit pouvoir être maintenu de manière exceptionnelle pour les parents qui en font la demande (« redoublement choisi », comme en cours de cycle actuellement), mais n'est plus proposé par l'Institution. Dans ces cas exceptionnels, l'élève peut redoubler dans le même groupe ou du groupe d'approfondissement vers le groupe fondamental.
Proposition n°8 : le Conseil de classe du troisième trimestre de Cinquième et de Quatrième peut décider, sous certaines modalités, le passage d'un élève du groupe d'approfondissement au groupe fondamental. Dans des cas exceptionnels, avec accord de la famille, ce passage peut même avoir lieu en cours d'année.
Proposition n°9 : les élèves du groupe fondamental se voient proposer en fin de Troisième une orientation vers le professionnel ou une passerelle d'approfondissement, selon laquelle l'élève effectue une nouvelle année de troisième dans le groupe d'approfondissement.
Proposition n°10 : les élèves du groupe fondamental sont prioritaires lors de leur affectation sur les vœux « professionnels »
Proposition n°11 : création de trois grands pôles d'enseignement : le pôle scientifique et technique, le pôle humaniste et le pôle transversal.
Proposition n°12 : harmoniser les programmes des disciplines du pôle scientifique et technique en y indiquant de manière explicite les points de convergence, les passerelles possibles à chaque niveau d'enseignement, et en précisant quels prérequis abordés dans les autres disciplines sont nécessaires à l'étude de tel ou tel point d'un programme. Cette harmonisation doit prendre pour base la logique scientifique et la maîtrise progressive des différentes technologies, dont la technologie informatique.
36
Proposition n°13 : remplacer la discipline Technologie par une discipline nommée Technologie et Numérique.
Proposition n°14 : consacrer dans la discipline Technologie et Numérique une heure par semaine à chaque niveau à l'étude d'un tronc commun informatique-TIC
Proposition n°15 : consacrer dans la discipline Technologie et Numérique une heure par semaine en classes de Sixième, Cinquième et Troisième à des modules de culture scientifique et technique.
Proposition n°16 : harmoniser les programmes des disciplines du pôle humaniste en y indiquant de manière explicite les points de convergence, les passerelles possibles à chaque niveau d'enseignement, et en précisant quels prérequis abordés dans les autres disciplines sont nécessaires à l'étude de tel ou tel point d'un programme. Cette harmonisation peut prendre pour base le découpage chronologique du programme d'Histoire.
Proposition n°17 : procéder à une harmonisation terminologique claire et cohérente dans le vocabulaire employé pour l'étude de la langue dans les différentes disciplines.
Proposition n°18 : faciliter dans les programmes disciplinaires du pôle scientifique et technique et du pôle humaniste l'inclusion du professeur documentaliste par des repères explicites.
Proposition n°19 : créer un programme explicite pour l'option Découverte Professionnelle indiquant les passerelles possibles avec les autres disciplines. L'option doit être dotée d'un horaire fléché dans la DHG, et les professeurs dispensant cet enseignement doivent recevoir une formation continue spécifique sur leur temps de service dans le cadre du Plan Académique de Formation, formation qui donne lieu à une validation certificative.
Proposition n°20 : supprimer les différentes attestations (ASSR 1 et 2, PSC 1) du cadre du Diplôme National du brevet.
37
Proposition n°21 : faire du Diplôme National du Brevet un examen qui contient en lui-même la validation du socle commun de connaissances, de compétences et de culture.
Proposition n°22 : constituer des épreuves terminales correspondant aux attendus du socle commun de connaissances, de compétences et de culture.
Proposition n°23 : l'obtention du Diplôme National du Brevet signifie l'acquisition du Socle Commun de Connaissances, de Compétences et de Culture. En cas de non obtention, certaines compétences sont néanmoins validées en fonction des résultats obtenus. Les mentions assez bien, bien, très bien sont maintenues. Le diplôme peut porter jusqu'à deux mentions complémentaires : mention « fondamentaux », mention « sciences expérimentales », mention « technologie et numérique », mention « arts ».
Proposition n°24 : une épreuve orale sur dossier (préparé par l'élève) est prévue dans les épreuves terminales. Elle porte, au choix de l'élève, sur la culture artistique ou sur la culture scientifique.
Proposition n°25 : conserver les structures adéquates (SEGPA, IME, ITEP...) car il y a des limites médicales à l'inclusion. Définir avec précision le « champ de recrutement » de chaque structure.
Proposition n°26 : donner le droit au chef d'établissement, en lien avec le médecin scolaire, de faire effectuer les évaluations nécessaires pour pouvoir orienter l'élève, le cas échéant, vers le dispositif le plus approprié.
Proposition n°27 : octroyer aux Auxiliaires de Vie Scolaire un statut, une formation, et les faire bénéficier d'une réelle stabilité pour le bien de l'élève.
Proposition n°28 : la participation aux conseils d'administrations et aux conseils pédagogiques doit donner lieu à une rémunération forfaitaire.
Proposition n°29 : supprimer le livret personnel de compétences, qui ne permet nullement d'articuler les programmes et le socle commun. Cette articulation doit se faire en amont, dans la réflexion menée sur les programmes, et non en aval, sur l'évaluation.
38
Proposition n°30 : supprimer les projets d'établissement sous leur forme actuelle, et les remplacer par un réel document de travail issu d'une concertation menée lors des journées de prérentrée par les équipes disciplinaires.
Proposition n°31 : mettre en place des études dirigées, dans la mesure du possible à un autre moment que sur le temps de la pause méridienne. Ces études doivent en priorité être assurées par des personnels (professeurs, assistants d'éducation) rémunérés pour ce faire. Des étudiants en master enseignement pourraient également les assurer.
Proposition n°32 : supprimer la Note de Vie Scolaire.



Charte de la laïcité. - par S.R. le 05/11/2013 - 16:29

Le SNALC-FGAF, qui depuis 1905 défend sans relâche l'Ecole de la République et qui déjà en 2004 avait voté en faveur de la circulaire interdisant les signes religieux ostentatoires à l'Ecole, se félicite de la création de la Charte de laïcité, tant sur le plan du symbole que sur celui de son contenu. Il rappelle qu'il avait d'ailleurs très largement approuvé cette charte lors de sa présentation au Conseil Supérieur de l'Éducation.

Le SNALC-FGAF est particulièrement satisfait des articles rappelant que l'école n'est pas un lieu de prosélytisme, qu'« aucun élève ne peut invoquer une conviction religieuse ou politique pour contester à un enseignant le droit de traiter une question au programme », que « nul ne peut se prévaloir de son appartenance religieuse pour refuser de se conformer aux règles applicables dans l'École de la République » ou encore que « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit ».

Le SNALC-FGAF demande à ce que chacun et chacune, à tous les échelons de la hiérarchie, veille que les articles de cette charte soient respectés et appliqués. L'école est le lieu de la transmission des savoirs et non celui des combats idéologiques : assurons-nous au quotidien que toutes les conditions sont réunies pour que cette transmission s'effectue dans un cadre neutre et apaisé. Pour cette raison, le SNALC-FGAF demande que la Charte de la laïcité soit affichée dans toutes les salles de classe, y compris, dans la mesure où ils assurent une mission de service public, dans les établissements privés sous contrat avec l'Etat, afin que le professeur puisse s'y référer immédiatement s'il en est besoin. 
 
 


nos commissaires paritaires - par Françoise Morard le 27/01/2013 - 00:00

 

TABLEAU DES COMMISSAIRES PARITAIRES NATIONAUX (CAPN) et académiques (CAPA)


SYNDICATS

CAPN CHAIRE SUP

CAPN AGREGES

CAPN CERTIFIES

TOTAL élus nationaux

CAPA

AGREGES

CAPA

CERTIFIES

FSU

Avec plus de 40% des voix obtenues au CTM, les nombreux syndicats de la FSU sont majoritaires dans chaque catégorie

SNALC

2

6

6

14

118

112

SGEN

0

3

6

9

26

108

UNSA

0

0

6

6

8

108

SUD

0

0

3

3

24

54

FO

0

0

3

3

18

84

CGT

0

0

0

0

0

6

SIAES* SIES* SNCL* SAGES* FAEN*

0

0

0

0

Trop peu représentés sur le territoire national (parfois dans une seule académie) chez les certifiés et agrégés pour établir un décompte académique exhaustif.



LA DECISION VOUS CONCERNANT EST PRISE en CAPN :

Si vous êtes Certifié(e) ou Agrégé(e), candidat à une mutation au mouvement inter académique :

La FSU, le SNALC, le SGEN, l’UNSA, SUD et FO siègent en commissions


Si vous êtes Certifié(e) ou Agrégé(e), candidat à un poste en CPGE , STS, Chef de Travaux… (mvt spécifique) :

La FSU, le SNALC, le SGEN, l’UNSA, SUD et FO siègent en commissions


Si vous êtes P.EPS ou Agrégé(e) d’EPS, candidat à une mutation au mouvement inter académique :

La FSU, le SNALC et le SGEN siègent en commissions


Si vous êtes Certifié(e) et postulez pour la Liste d’Aptitude d’accès au corps des Agrégés :

La FSU, le SNALC et le SGEN siègent en commissions


Si vous êtes Agrégé(e) et postulez pour la Hors-Classe, ou êtes simplement concerné(e) par l’avancement d’échelon

La FSU, le SNALC et le SGEN siègent en commissions


Si vous êtes Professeur de Chaire Supérieure ou candidat à la L.A d’accès au corps des Professeurs de Chaire

Supérieure : Seuls la FSU et le SNALC siègent en commissions



* Vous êtes adhérent(e) d’un des syndicats (SIAES/SIES/SNCL/SAGES) partenaires du SNALC pour la Liste Union pour l’Ecole Républicaine aux élections professionnelles d’octobre 2011, et vous êtes concerné(e) par une commission décrite ci-dessus ? N’hésitez pas à prendre rapidement contact avec le SNALC, service gestion des personnels (gesper@snalc.fr) afin d’être suivi(e) aux niveaux national et académique par nos équipes.


Avancement d'échelons certifiés - par Line Godefroy le 26/01/2013 - 23:54

AVANCEMENT D’ ECHELON DES CERTIFIES-ANNEE SCOLAIRE   2012/2013

 

Voici les résultats globaux de la CAPA d’avancement d’échelon des certifiés du 22/01/13 à laquelle les commissaires paritaires du SNALC ont siégé en présence des autres organisations syndicales et des instances du rectorat.

 

 

 

ECHELONS

GRAND CHOIX

CHOIX

promouvables

promus

barre

promouvables

promus

barres

Du 4e au 5e

168

50

77

 

 

 

Du 5e au 6e

154

46

80

121

86

76,5

Du 6e au 7e

218

65

83

167

119

79,5

Du 7e au 8e

155

46

85

109

77

82

Du 8e au 9e

196

58

86.5

152

108

83.2

Du 9e au 10e

266

79

88.6

173

123

84.7

Du 10e au 11e

89

26

89

49

35

85.9

TOTAL

1246

370

 

771

548

 

 

 

            A barème égal, les promouvables sont départagés par :

 

1ancienneté dans le corps

2ancienneté dans l’échelon

3 mode de passage dans le dernier échelon

4 âge au 1erseptembre2009

 

 

 

Tableau général d’avancement d’échelon des certifiés

 

échelons

Grand choix

choix

ancienneté

1-2

 

 

3 mois

2-3

 

 

9 mois

3-4

 

 

1 an

4-5

2 ans

 

2 ans 6 mois

5-6

2 ans 6 mois

3 ans

3 ans 6 mois

6-7

2 ans 6 mois

3 ans

3 ans 6 mois

7-8

2 ans 6 mois

3 ans

3 ans 6 mois

8-9

2 ans 6 mois

4 ans

4 ans 6 mois

9-10

3 ans

4 ans

5 ans

10-11

3 ans

4 ans 6 mois

5 ans 6 mois

total

20 ans

26 ans

30 ans

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Assises du supérieur - par Bernard Thiebaud le 22/09/2012 - 12:06

Le SNALC-FGAF proteste avec la plus vive énergie contre l’affirmation formulée dans la note de synthèse des Assises de l’Enseignement supérieur et de la Recherche après les auditions de la consultation nationale selon laquelle le coût d’un étudiant en licence serait de 4 000 à 5 000 euros, à comparer à plus de 15 240 euros pour un étudiant en CPGE.

Il s’agit là d’une assertion partisane, qui n’est fondée sur aucune étude sérieuse puisque la même note avoue que « ce calcul n’est jamais fait », dont le seul objectif est de jeter dès avant la tenue des assises territoriales le discrédit sur les classes préparatoires aux grandes écoles. Pour le SNALC, le but en est de préparer le terrain pour leur intégration dans les universités, déjà décidée selon l’aveu même de Madame Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, formulé sur le site Mediapart le 30 août dernier.

Le SNALC rappelle que le coût annuel d’un étudiant, selon le ministère même, est de 10 180 euros, soit plus du double de la somme annoncée. Ce coût moyen inclut entre autres des étudiants qui ne mettent jamais les pieds dans les amphis, soit parce qu’ils profitent de la non obligation d’assiduité, soit parce qu’ils suivent les cours de CPGE justement. De plus, le SNALC considère qu’il faudrait prendre en compte le coût non par année, mais par étudiant admis au niveau bac+2, auquel cas la différence s’avèrerait nettement plus faible ; plus encore, si on considérait le coût pour l’État par étudiant jusqu'au niveau master, la filière CPGE-GE n’apparaîtrait pas nécessairement la plus onéreuse au vu des droits de scolarité importants payés par les élèves de nombreuses grandes écoles.

Le SNALC a toujours défendu l’augmentation des moyens pédagogiques pour les universités, notamment par la diminution de l’obligation de service des PRAG et le relèvement du taux de l’heure complémentaire d’enseignement. Pour autant, il considère que dresser ainsi un système contre un autre n’est pas un moyen efficient de résoudre les problèmes qui se posent à l’enseignement supérieur français. Il affirme que ce n’est pas en commençant par dénigrer une filière qui fonctionne bien que l’on agira pour la réussite de tous les étudiants. C’est là à son avis un bien mauvais signal donné aux professeurs de classes préparatoires et à l’ensemble des personnels de l’enseignement supérieur.

recrutement annoncé - par Françoise Morard le 22/09/2012 - 12:02

Le SNALC-FGAF se félicite de l’annonce faite hier par le ministre de l’Education nationale de la création de 40 000 postes de professeurs, dont 22 000 assurent le remplacement poste pour poste des départs à la retraite. C’est ainsi faire le choix de redonner à l’Etat le moyen d’assumer la mission d’enseignement qui lui revient de par la loi.


Le SNALC s’inquiète toutefois de la capacité à recruter les candidats, suffisant à pourvoir les emplois sans que soient enfin prises des mesures concrètes visant à réaffirmer leur autorité au sein de l'institution, à assurer leur sécurité et à augmenter leur rémunération. En effet la revalorisation sociale de la profession est la condition nécessaire à un bon recrutement.



septembre 2012 - par Françoise Morard le 22/09/2012 - 11:58

Le mot du président …
 
                      Une rentrée placée sous le signe de la …Morale  Laïque
 Le SNALC-FGAF  réaffirme son soutien à la décision annoncée du ministre de l’Education nationale d’établir une enseignement de la morale laïque tout au long de la scolarité dans les écoles, collèges et lycées exerçant une mission d’Etat .
La polémique  instaurée à ce propos ne peut qu’étonner ! Luc Chatel et le Haut Conseil de l’Intégration avaient  déjà installé en janvier 2012 une « mission pédagogique de laïcité », présidée par Abdennour  Bidar, professeur de philosophie : bel exemple de continuité de l’action publique qui n’a guère été remarqué.
Au-delà le SNALC-FGAF salue la volonté politique de ré enseigner les principes du pacte national qui nous lie au sein de la République et qui définit notre appartenance à une communauté d’histoire et de destin.
Le SNALC-FGAF estime que c’est à l’Ecole d’affirmer, avec la laïcité  de nos institutions, les principes d’une morale pratique qui s’impose à tous par-delà ce que peut enseigner une morale religieuse, respectable reflet de la liberté de conscience mais relevant du domaine privé.
Il va sans dire que le SNALC-FGAF  mettra en débat au sein de ses instances nationales la question de la nature de cet enseignement. Il se voudra, en effet,force de proposition en la matière.

CAPA agrégés 19 avril 2012 - par Françoise Morard le 24/04/2012 - 14:50

Une CAPA des agrégés s'est tenue jeudi 19 avril.

L'ordre du jour était :

le tableau d'avancement à la hors-classe,
les affectations sur postes adaptés,
les requêtes en révision de notation administrative,
les congés de formation professionnelle.

Concernant le tableau d'avancement à la hors-classe :
709 dossiers ont été examinés (tous les collègues agrégés de classe normale dont l'échelon fin décembre est supérieur ou égal à 7),
142 ont été proposés au niveau national (dont 1 au 9ème échelon, 69 au 10ème échelon et 72 au 11ème échelon), ils seront examinés en CAPN fin juin.
Tous les proposés ne seront pas promus.
Le rang académique et le barème ne sont qu'indicatifs.

Livre blanc de la souffrance au travail. - par Françoise Morard le 05/04/2012 - 22:01

Livre blanc de la souffrance au travail

herve.garlet@wanadoo.fr

Nouveau projet d'évaluation des professeurs - par Françoise Morard le 02/03/2012 - 10:08

Le  SNALC a  pris connaissance de l’avant-projet du ministère sur la nouvelle évaluation des enseignants et CPE ; il constate l’absence d’avancées ou de modifications concernant les motifs qui ont conduit à appeler à la grève nationale le 15 décembre et le 31 janvier. 

En conférant au seul chef d’établissement l’avancement des personnels en lui  attribuant la responsabilité d’un entretien jugeant des " compétences "  professionnelles et disciplinaires des professeurs et CPE (en réalité des objectifs fixés individuellement), ce projet remet gravement en cause l’indépendance des personnels à l’égard des pouvoirs locaux, garantie depuis 1950 par la double notation (pédagogique et administrative). Le rôle réservé aux inspecteurs dans les nouvelles modalités de cette " évaluation " reste de son côté obscur. 

La notion de liberté pédagogique reconnue pourtant par la loi n’apparaît nulle part, le mot pédagogie lui-même n’étant jamais employé, pas plus que le mot de connaissances. Un comble pour évaluer des enseignants !

Les critères retenus pour l’entretien sont très loin de la réalité de nos métiers, notamment le respect  des programmes et des besoins des élèves, ils introduisent des méthodes de management contraires à l’esprit du service public et conduisent à évaluer les professeurs sur des aspects qui ne figurent pas dans leurs missions statutaires. 

Enfin,  en  retenant  un  avancement  basé  sur  le  rythme  le  plus  lent,  ce projet  constitue  une nouvelle atteinte au niveau de vie des fonctionnaires enseignants, déjà fortement diminué par la désindéxation des salaires au début des années 80, par les revalorisations dérisoires, voire le gel du point d’indice dont ils sont victimes depuis des années.

Le SNALC est satisfait d’apprendre qu’aucune organisation syndicale n’a signé cet avant-projet. Il met en garde contre la tentation qui pourrait être celle du ministre de passer en force sur ce texte lors du CTM du 8 mars, alors que la zone B est encore en vacances. Si c’était le cas, il ne pourrait y voir qu’une manoeuvre révélant la crainte de la mobilisation des enseignants contre ce projet qu’ils ont clairement refusé par deux fois dans la rue (les 15 décembre 2011 et 31 janvier 2012). 

Nous affirmons d’ores et déjà être prêts à tout mettre en oeuvre pour pousser le gouvernement au retrait de ce texte. Nous nous adresserons aux candidats à l’élection présidentielle pour obtenir des engagements clairs en ce sens. Nous ne manquerons pas d’informer et de mobiliser nos collègues sur ce point, comme sur celui des suppressions de postes. 

Harcèlement - par Françoise Morard le 26/01/2012 - 20:43

HARCELEMENT

Les résultats du sondage réalisé pour le ministère par l’institut Ipsos révèle que 24 % des élèves subiraient diverses formes de harcèlement à l’école, soit 1 élève sur 4. Ainsi,
les élèves rackettés ou insultésont beau multiplier les appels au secours - parfois jusqu’au tragique - rien n’y fait car les causes réelles ne sont jamais mises en avant.

     Ce désastre a en effet une cause principale et une seule : la démission de l’Institution devant toute forme d’autorité. L’Instruction et la fonction de transmission ont été abandonnées au profit du dogme du « laisser faire, laisser passer ». La culture de l’excuse règne, trop souvent avec la complicité d’une administration qui « ne veut pas faire de vagues » et culpabilise les professeurs.

     C'est une dérive libertaire que les règlements intérieurs actuellement mis en place ni les « numéros verts » ne régleront le problème : nos dirigeants n’ont toujours pas compris que les effets d’annonce ne peuvent éternellement se substituer à l’action. En attendant, les élèves et les professeurs trinquent, faute de courage politique.

     On doit dénoncer le scandale de l’impunité dans l’Éducation nationale. Protéger les élèves et défendre ses personnels devrait pourtant être une priorité de l’Institution.
Nous contacter
Présidente

académique,

Françoise MORARD

7 bis, rue de la Mare

21380 MESSIGNY ET VANTOUX

Portable : 06 62 72 66 37

snalc-dijon@wanadoo.fr

----------------------------

 

Secrétaire

académique,

Line GODEFROY

16 rue du général Delaborde 
21000 DIJON

snalc71@yahoo.fr

 

----------------------------

 

Délégués auprès

du Rectorat,

Françoise MORARD

Tél : 06 62 72 66 37

Bernard THIEBAUD

Tél : 06 76 74 17 97

----------------------------

Trésorier

académique

SNALC - CSEN

Bernard THIEBAUD

 27 H Rue de Talant

21000 Dijon

Tél : 06 76 74 17 97

----------------------------

Commissaire paritaire agrégés
snalc-dijon@wanadoo.fr

Commissaire paritaire certifié

David GOUT

Mail :

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